23 mars 2008

QUI SUIS-JE ?

Moderne, malade, écartelée, recomposée, déchirée, prête à mordre...

QUI SUIS-JE ?



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11 commentaires:

Anonyme a dit…

n'est ce pas le phoenix ??
contagieuse ?

Anonyme a dit…

@Phil> qui renaît de ses cendres ?...
L'idée est belle, la symbolique aussi.Oh que j'aimerais qu'il s'agisse du phoenix ...

Anonyme a dit…

il parait que la vie reprends toujours le dessus, et l'inventaire que tu as dressé semble parler de renouveau... de revanche ??

Anonyme a dit…

mon inventaire parle de renouveau et....de déchirure...

Pas forcément compatible tout ça non? comme quoi le renouveau n'est pas toujours signe de mieux.

enfin bref, j'y travaille dur ! très dur !

Anonyme a dit…

à quoi sert donc le renouveau s'il y a toujours la déchirure.. ?
n'est ce pas comme çà que l'on apprend à guérir

Anonyme a dit…

c'est pas faux comme raisonnement, finalement... En fait je pense qu'une fois la déchirure faite, même guérie, la zone reste sensible. Un peu comme une cicatrice sur un bras : la peau s'est reconstruite, tant bien que mal, parfois ça fait des cicatrices toutes moches, dures et gonflées, parfois la cicatrice se voit à peine mais la peau, à cet endroit, a une texture bien plus fragile...

Donc oui, une déchirure, une guérison mais une fragilité latente.

Je suis, je suis.....
La famille recomposée !

Anonyme a dit…

alors je dirais convalescente..
parfois la blessure se recouvre d'une carapace pour éviter de souffrir à nouveau parait il...
j'espere que vous échapperez à cela

Anonyme a dit…

une carapace ? quelle horreur, je n'ose même pas imaginer l'effet du bonheur qui se casse le nez sur la carapace !
Je préfère encore laisser une fissure quitte à souffrir encore, plutôt que de me protéger dans un blockhaus...
Mais dites-moi, vous semblez en connaitre un rayon sur la "carapaçologie" ?
...Tiens, vous me vouvoyez à présent?

Anonyme a dit…

en effet, je vous vouvois, mais c'est peut être le tutoiement qui a été un écart la première fois

j'ai connu la souffrance, d'une blessure que l'on vient réouvrir et parfois une carapace protège un peu, sans se vouloir être imperméable

Tinkerbell a dit…

perméable vous êtes, heureux vous finirez. De toute façon on ne souffre jamais indéfiniment

Anonyme a dit…

heureux je suis...
en effet on ne souffre jamais indéfiniment ou alors seulement quand on y pense